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Parmi les nombreuses failles qui parcourent l’histoire de la raison, l’une d’elles oppose la représentation normalisante de l’objet donné à l’appréhension infime de l’objet construit. On a voulu montrer que le travail de Freud se situe plutôt du côté de cette seconde orientation et que l’acceptation et le traitement des « énoncés paradoxaux », qu’il partage avec bien d’autres configurations discursives philosophiques ou religieuses, étaient la marque de la rupture qu’il effectue avec tout dogmatisme scientiste.
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DOI: 10.4000/rgi.812
Full citation:
Ogilvie, B. (2000). Freud et le nom de l'Autre. Un Moïse de plus. Revue germanique internationale - ancienne série 14, pp. 151-163.